Histoire: Loin, très loin...

Je vous ai concocter une petite histoire. C'est un premier jet d'une série sans doute. Donnez votre avis.


Far away


« Mon frère, je t’offre le dernier souffle de mon âme, tu sais ce que ça représente pour un Lucifien. Adieu… » Et il lâcha son dernier soupir, pour l’offrir à son tyran de frère. C’est ainsi que continua l’histoire des Lucifiens : si je vous raconte cette fabuleuse histoire c’est qu’elle commença dans un magasin de jouet. Un enfant de la moyenne bourgeoisie, Londonienne reçut un cadeau pour son anniversaire. Une boite de petits soldats de plomb. Il joua avec pendant longtemps mais les années passèrent et un jour les soldats furent oubliés et laisser à l’abandon dans une boite du grenier. Pendant de longues années les petits soldats de plomb n’avaient aucune raison d’exister. Mais, il arrive que parfois une renaissance inexpliquée puisse arrivée. Le jeune Lucide âgé de dix-sept années. Retrouva sa boite de soldat en recherchant de vieilles bricoles dans le grenier. Et de cette petite boite, naquit un vaste projet qui sommeillait au plus profond de ce grand enfant. Trois nuits s’écoulèrent et le beau jeune homme sortit la quatrième nuit. Le temps y était frais. La lune brillait haut dans le ciel. Le vent frais miroitait les herbes pâles des prairies environnantes. Le pas rapide comme-ci on aurait poursuivi un gibier en période de chasse. Le garçon semblait pensif dans son grand manteau noir. Ses bottes reflétaient le faible rayon de la lune. Son chapeau enfoncer sur sa tête, le cachait de tout regard. Il se retournait de nombreuse fois. Il descendit jusque dans les forêts, pris des sentiers. C’est en s’enfonçant dans la forêt que le jeune homme, prit une pause. Dans la clairière, il fit une courte halte. Pris une gorgée de sa gourde. Et repartit vers les ténèbres. Le sentier disparaissait sous ses bottes. Il marchait comme pour rattraper quelque chose ou quelqu’un.

Correction:

« Mon frère, je t’offre le dernier souffle de mon âme, tu sais ce que ça représente pour un Lucifien. Adieu… » Et il lâcha son dernier soupir, pour l’offrir à son tyran de frère. C’est ainsi que continua l’histoire des Lucifiens : si je vous raconte cette fabuleuse histoire c’est parce qu’elle a commencée dans un magasin de jouets. Un enfant de la moyenne bourgeoisie, londonienne reçut un cadeau pour son anniversaire: une boite de petits soldats de plomb. Il joua avec pendant longtemps. Mais les années passèrent et un jour les soldats furent oubliés et laissés à l’abandon dans une boite du grenier. Pendant de longues années les petits soldats de plomb n’avaient plus aucune raison d’exister. Mais, il arrive que parfois, une renaissance inexpliquée puisse arriver. Le jeune Lucide, âgé de dix-sept années, retrouva sa boite de soldats en recherchant de vieilles bricoles dans le grenier. Et de cette petite boite naquit un vaste projet qui sommeillait au plus profond de ce grand enfant. Trois nuits s’écoulèrent et le beau jeune homme sortit la quatrième nuit. Le temps y était frais. La lune brillait haut dans le ciel. Le vent frais faisait miroiter les herbes pâles des prairies environnantes. Le pas rapide comme si on aurait poursuivi un gibier en période de chasse. Le garçon semblait pensif dans son grand manteau noir. Ses bottes reflétaient le faible rayon de la lune. Son chapeau enfoncé sur sa tête le cachait des regards. Il se retournait de nombreuses fois . Il descendit jusque dans les forêts, pris des sentiers... C’est en s’enfonçant dans la forêt que le jeune homme, prit une pause dans une petite clairière. Pris une gorgée de sa gourde. Et repartit vers les ténèbres. Le sentier disparaissait sous ses bottes. Il marchait comme pour rattraper quelque chose ou quelqu’un.

Je te fais une rapide correction et je te donne mon avis ensuite

« Mon frère, je t’offre le dernier souffle de mon âme, tu sais ce que ça représente pour un Lucifien. Adieu… » Et il lâcha son dernier soupir, pour l’offrir à son tyran de frère. C’est ainsi que continua l’histoire des Lucifiens : si je vous raconte cette fabuleuse histoire c’est qu’elle commença ("parce qu'elle a commencée" aurait été plus approprié selon moi) dans un magasin de jouets. (Il n'y a pas qu'un seul et unique jouet dans un magasin de jouets ^^) Un enfant de la moyenne bourgeoisie, Londonienne (Virgule et majuscule ici inutiles) reçut un cadeau pour son anniversaire. (Mettre un double point ici " : " pour indiquer que la phrase suivante parle de ce qu'est le cadeau) Une boite de petits soldats de plomb. Il joua avec pendant longtemps. (Ici, un point aurait été sympathique ^^) mais les années passèrent et un jour les soldats furent oubliés et laisser (laissés) à l’abandon dans une boite du grenier. Pendant de longues années les petits soldats de plomb n’avaient plus aucune raison d’exister. Mais, il arrive que parfois, (Une virgule ici ^^) une renaissance inexpliquée puisse arrivée (arriver). Le jeune Lucide, (virgule) âgé de dix-sept années. (Pas besoin de terminer la phrase ici, tu peux la continuer) Retrouva sa boite de soldats (Mettre un " s ") en recherchant de vieilles bricoles dans le grenier. Et de cette petite boite, (Pas besoin de virgule, car sinon tu coupes inutilement la phrase) naquit un vaste projet qui sommeillait au plus profond de ce grand enfant. Trois nuits s’écoulèrent et le beau jeune homme sortit la quatrième nuit. (Il serait bien d'indiquer où sort le garçon) Le temps y était frais. La lune brillait haut dans le ciel. Le vent frais miroitait (Le vent ne miroite pas, ou alors, il FAIT miroiter les herbes ) les herbes pâles des prairies environnantes. Le pas rapide comme-ci (comme si) on aurait poursuivi un gibier en période de chasse. Le garçon semblait pensif dans son grand manteau noir. Ses bottes reflétaient le faible rayon de la lune. Son chapeau enfoncer (C'est le chapeau qui est enfoncé sur sa tête) sur sa tête, (Encore une fois, inutile de couper la phrase à cet endroit) le cachait de tout regards (Généralement, on dit " des regards ". Du coup, si le mot qui vient après " tout " est au pluriel, on l'écrit " tous "). Il se retournait de nombreuses fois (N'oublie pas le pluriel) . Il descendit jusque dans les forêts, pris des sentiers... (Vu que tes phrases sont courtes, n'hésite pas à mettre des points de suspension pour montrer qu'il y avait sûrement plus que des sentiers... Qu'il passait par-ci, par-là...) C’est en s’enfonçant dans la forêt que le jeune homme, prit une pause (Pas besoin de virgule). Dans la clairière, il fit une courte halte (Là ça fait répétition avec la phrase précédente, celle-ci est donc à retirer. Ou alors, fusionne les 2 phrases si tu tiens vraiment à dire qu'il a fait une pause dans la clairière. D'ailleurs, dire LA clairière reviendrait à dire qu'il n'y en a qu'UNE. Or, nous n'avons pas assez d'indices spatiotemporels pour pouvoir nous situer... Du coup, j'aurais mis "à l'embouchure d'une clairière...") . Pris une gorgée de sa gourde. (Ici tu peux clairement retirer le point pour fusionner tes 2 phrases) Et repartit vers les ténèbres. Le sentier disparaissait sous ses bottes. Il marchait comme pour rattraper quelque chose ou quelqu’un.

Voilà voilà ^^ Alors j'espère que ma correction est assez simple à décoder... Mais tout faire avec des balises html rend très rapidement le travail très compliqué...

Bref, mon avis à présent :

L'histoire semble être sympathique. Cependant, même si ce n'est que le début, j'en ai conscience, je trouve qu'il y a une trop grande part de mystère. Je m'explique : Qui est ce jeune homme ? On ne le sait pas encore. On peut juste supposer que ce soit celui qui va donner son âme à son frère, ou bien le fameux frère qui va recevoir l'âme... Ou bien, aucun des deux. Ensuite, l'époque ? On ne la connait pas. "Magasin de jouet" laisse à supposer que ça peut être des années 70 jusqu'à aujourd'hui. En revanche, les soldats de plomb, eux, prouvent bien que ce sont les débuts des magasins de jouets. (Après la crise de mai 1968, l'homme prend conscience que les enfants n'ont pas les mêmes besoins que les adultes -> Création des premières grandes surfaces de vente de jouets. De plus, ignorant les dangers des matériaux utilisés (ici, le plomb), je confirme que l'époque serait entre 1970 et 1980)
Passons...
Il y a aussi le lieu qui reste inconnu. Enfin, Londres, ok. Mais plus précisément ? "Moyenne bourgeoisie" = ville ou campagne ? Je dirais ville étant donné le contexte de moyenne bourgeoisie et du magasin de jouets. Mais une forêt à proximité d'une ville... Je trouve ça assez perturbant =S Du coup, tu aurais dû préciser que cette forêt nécessitait pas mal de temps de marche pour y accéder. Ou alors je me trompe complètement et dans ton histoire il y a bel et bien une forêt juste à côté de la ville ^^
Le côté positif de tout ça, c'est que tu donnes au lecteur l'envie d'en apprendre davantage sur ces fameux "Lucifiens" ^^ Du coup, c'est un bon point qui donne envie de continuer

Voilà voilà. Dommage cependant qu'il y ait ces petites fautes, surtout qu'elles sont faciles à éviter.

Bonne continuation Bouti